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VENDREDI : 

Début de concert à 17h00 pour Klone 

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Dommage de faire jouer un groupe aussi intéressant que Klone à un horaire aussi avancé dans la journée. Mais il faut bien reconnaître que le choix est délicat ce soir. Au final, le public est arrivé au fur et à mesure du set et à la fin de leur concert, il y avait quand même pas mal de monde pour les soutenir.  

   

Le groupe a su proposer un show d'une belle intensité et chargé en émotion. Nous savons à quel point la scène de la salle Oésia peut être grande et impressionnante. Mais la musique de Klone a rempli l'espace et créé une bulle intimiste. Toute notre attention a été captée par le groupe, qui a pourtant dû faire face à un petit défi technique, comme nous l'explique Guillaume (guitare) dans son interview : il a oublié sa guitare et a dû emprunter celle du guitariste de Bernard Minet. Et malgré cela, le son de Klone était là, massif, puissant. Preuve, s'il en était besoin, que le groupe a un savoir-faire impressionnant et sait toujours donner le meilleur de lui-même à chaque occasion.

   


Une chose est sûre, nous attendons avec impatience la prochaine occasion de les voir pour continuer de rêver avec eux.

Pour télécharger l'interview : https://lautremonde-radio.fr/itw.klone-12.09.2025.mp3

 

 

 

Bernard Minet Metal Band

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Cet artiste est exceptionnel. Bernard Minet nous a proposé un show mémorable avec des parties à cappella, notamment sur Juliette Je T'Aime. Car le groupe ne veut pas reprendre ce titre en version métal, peu importe, Bernard Minet peut compter sur le soutien indéfectible du public. 

Par contre, sur Denver le dernier dinosaure, c'est du pain béni pour une version bien énervée. 

   

Tout le public connaît l'intégralité des génériques par cœur, même si certains n'ont pas vu les dessins animés. Et cette version métal dynamise chaque chanson, y compris Jeanne et Serge qui a une base reggae qui a été body buildee ! 

C'est une sacrée performance que Bernard Minet nous a proposé ce soir, moment nostalgique et puissance métal. 

Allez réécouter son album sorti en 2020 ! 

Avec un coup de cœur de notre côté pour Ken et Saint Seya (les chevaliers du zodiaque) repris une première fois a cappella avant de passer à la version métal très épique,  

Avec un mot touchant à la mémoire de Framboisier et de René.

Et une énorme chenille dans le public avec au milieu Bernard Minet sur la chanson La fête au village !  Une autre forme de circle pit en quelque sorte.  

Avec en dernier titre Capitaine Flam, lui aussi repris par le public à cappella avant le groupe ne démarre. Tout le monde était bien chaud ! Et Bernard Minet qui personnalise les paroles pour l’occasion du Sid Fest!  

Sans oublier un hip-hip-hip hourra pour Dorothée, sans qui rien n'aurait été possible. 

Et Bioman pour finir ! 

Quel spectacle et quelle ambiance !

 

Si vous voulez le revoir, il sera à Saint-Pierre-de-Corps le 1er novembre, mais pas en version métal. https://www.facebook.com/events/24529590666661024?locale=fr_CA 

 La setlist de ce soir :
- Goldorak Go
- Bioman
- Un collège fou fou fou
- Nicky Larson
- Olive et Tom
- Juliette Je T'aime (a cappella)
- Denver le dernier dinosaure
- Jeanne et Serge
- Ken le survivant
- Les chevaliers du zodiaque
- La merguez party
- La fête au village
- Capitaine Flam

 

 

 

Les fatals picards 

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Une première en live pour nous, et c'est ça l'éclectisme de la programmation du Sid Fest.  

Ambiance festive et humoristique pour le groupe de chanson française. Leur réputation n’est plus à faire. Avec des titres repris en chœur par 800 personnes ! Comme dans le titre  « mon père était tellement de gauche »  où Jean Marc (batteur) devient chanteur. Avec des adaptations de circonstances dans les intermèdes et parfois les paroles, pour toujours avoir le sourire.  

Un show décontracté et très bien rythmé.  

   

Tout le monde connaît les paroles par cœur, ce qui permet au groupe de partir en sucette tout en s'amusant et de toujours retomber sur ses pieds tels des funambules, acrobates et clowns qu'ils sont. Il faut dire que ça joue si bien. Avec des titres aux gros riffs, des chœurs bien efficaces et une petite base reggae à l'occasion, comme sur le titre « sucer des cailloux ». Ça bouge vraiment avec cette musique entraînante, que dans la fosse s'agite vraiment. Pas un pogo de folie, mais quand même, et du crowdsurfing. Tous les groupes n’ont pas forcément droit à ça ! 

Même la mini reprise de Queen dans une version massacrée était fun, quant aux blagues sur Tryo, Superbus sur la chanson Boum boum, en fait tout passe, il faut dire que leur niveau 2nd pour ne pas dire 5ᵉ degré est leur marque de fabrique. Et encore, ce son bien rock velu avec des soli bien sentis façon punk-rock qui vont bien. Avec un set musclé pour le festival comme leur titre de métal vosgien, qui rappelle un peu Iron Maiden et Trust avec des textes bien parodiques et ce que ça joue bien sur les instruments! Alors pourquoi se priver, autant en rajouter une couche avec un changement de poste sur les instruments. Les gars sont à l'aise et balèzes. 

 

 

Ce sont aussi des situations surréalistes comme le titre « Partenaire particulier » (extrait de l'album  Pamplemousse Mécanique sorti en 2006) repris à la sauce punk, qui est dédié aux jeunes lycéens qui se sont fait frapper par les policiers ! Et ce final épique sur « Punks au Liechtenstein »

 

 

 

Les ramoneurs de menhirs : 

Nous nous sommes fait avoir sur les horaires et nous devons présenter nos excuses au groupe pour avoir manqué le début de leur concert. N'ayant pas voulu jouer des coudes avec le public pour prendre des photos et risquer de déranger les festivaliers qui profitent du spectacle, nous sommes restés dans le fond de la salle pour apprécier l'ambiance générale.

Le groupe punk est toujours début, vaillant et motivé. Avec une reprise de porcherie qui intègre Zeimour, Trump et Poutine dans les paroles et le biniou qui reprend le chant des partisans, un mashup survolté et antifasciste. 

     

Le public s'est amusé à un maximum de stage-diving pendant le concert des Ramoneurs de menhirs  

Et avec un discours toujours revendicateur, qui rappelle leurs engagements, notamment le féminisme et la jeunesse. Sans oublier un peu d'Histoire comme la révolution en Cornouailles en 1649, avec un titre de Patti Smith aux paroles modifiées pour l’occasion. 

Ambiance dansante, joyeuse et contestataire avec des drapeaux bretons dans le public.

Petite surprise, sur ce concert, beaucoup de téléphones portables pour immortaliser ce moment. 

Un concert des ramoneurs de menhirs, c'est toujours cette ambiance survoltée dont ils ont le secret bien gardé, en irréductibles gaulois qu'ils sont et qui ne cesseront jamais de lutter contre les fascistes de tout bord. 

 

 

Et pour finir cette soirée Ashen

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https://www.outoflineshop.de/ashen
https://open.spotify.com/album/0CYToHB6LeAEPnbkBFfWhY
https://www.instagram.com/ashen.band/

     


Le groupe a son album qui est sorti aujourd’hui (lien vers notre chronique). Un hasard du calendrier en réalité, mais qui fait bien les choses et permet aux parisiens de nous balancer leur album Chimera dans les oreilles, notamment leur dernier single qui est sorti lui aussi aujourd’hui. Nous les avions déjà vus à l'Arificial Waves 2025. Sur cette très grande scène de la salle Oésia le groupe peut lâcher les chevaux et ses émotions. Quelle puissance. C'est clairement le groupe qui envoie le plus fort de la soirée, y compris devant la scène. Je me suis retrouvé devant l'ampli de la basse pour quelques photos : ça vous claque dans les oreilles avec une précision incroyable. 
 

Et ce jeu avec le public qui a décidé de s'amuser jusqu’au bout de la fête et qui se déchaîne, s'accroupit pour mieux sauter tous ensemble.  

C'est percutant et chargé d'émotion tout à la fois et tour à tour. Ça bouscule, ça remue. Et il y a ces soli de guitares bien techniques et longs, qui jouent avec des riffs bien lourds et acérés, tout en gardant un côté mélodique et atmosphérique. Comme le dit Ashen dans leur interview enregistrée avant le concert, il y a bien ces 3 composantes dans leur musique qui prennent encore plus d'ampleur en live, car c'est là que l'énergie et le côté vivant, organique peuvent le mieux s'exprimer et être ressentis. 

Avec des teintes très saturées sur les lights, un vrai supplice pour les photos, mais un joli spectacle avec beaucoup de couleur et de contre-jour, qui là encore va dans le sens d'une percussion encore plus grande. Sur le sujet, le solo de batterie au milieu du concert est d'un superbe effet. 

     

Le groupe ne cesse de remercier le public d'être resté aussi tard avec eux. Et quand vous voyez le circle-pit qui se lance sur Cover Me Red, tout le monde est rassuré : ceux qui sont là (les meilleurs) ont encore un maximum d'énergie à partager. Wall of death et stage dive, tout y est passé. Et Outlier en clôture. Le groupe vie littéralement sa musique à chaque instant. Quelle intensité. 

Un vrai plaisir de les avoir revenus aussi vite. La scène modern metal a un fier représentant avec Ashen. Le groupe est en tournée jusqu’à la fin de l'année et d'autres dates vont s'ajouter, bien sûr. Alors, continuez de les soutenir.  


Pour télécharger l'interview : https://lautremonde-radio.fr/itw.Ashen-12.09.2025.mp3

 

 

SAMEDI : 

 

https://www.instagram.com/breakstuff.tribute/
https://www.facebook.com/breakstuffff

 

     

Les sudistes de Breakstuff étaient là pour chauffer la salle. Le public arrive lentement, mais sûrement, en ce samedi après-midi. La salle Oésia ne cesse de se remplir, ce qui améliore l'ambiance et la réponse que le groupe obtient des festivaliers.  

Avec au milieu du set un solo du dj, avec jump around, Walk this way (public enemy/aerosmith),  Linkin Park, Rage against the machine, nirvana , prodigy… pour permettre pendant ce temps, un changement de tenue pour les 4 autres membres du groupe. J'ai choisi de ne pas mettre de photos des nouveaux costumes, pour vous laisser le plaisir de la découverte lorsque vous irez voir Breakstuff en concert (si vous les avez ratés ce soir) 

Ambiance festive et sautillante, comme vous devez vous en douter pour Breakstuff qui est là pour prendre du bon temps et en donner.  

Que dire de plus : côté musique, vous savez déjà à quoi vous attendre. Alors qu'est-ce que cela donne sur la scène ? Ça bouge, ça tchatche, avec un show lumière qui sature beaucoup et laisse le groupe dans une pénombre permanente.  

     

Sans l'ombre d'un doute, le groupe assure comme des bêtes. Si vous aimez Limp Bizkit, vous ne pouvez qu'apprécier un show pareil. Ça sonne rond et lourd, bien massif. Avec un chant qui assure dans un registre proche de la version originale. De quoi respecter le groupe américain tout en mettant sa petite french touch, ce qui donne un son très entraînant.  

Le groupe se donne sans compter. Y compris en descendant dans la foule pour bien l'écarter et générer un énorme Wall of Death où le chanteur et le dj ont donné de leurs corps en restant au milieu du pogo! 

Un beau début pour ce second jour de festival pour cette édition 2025 du Sid Fest. 

La set list :
- Hot dog
- Thieves
- Rollin
- Nookie
- Out of style
- Gold cobra
- My generation
- My way
- Breakstuff
- Take a look around
- Faith

 

 

Akiavel : 

https://www.instagram.com/akiavel/
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https://www.akiavel.com
https://open.spotify.com/playlist/akiavel
https://www.youtube.com/c/Akiavel

     

Quelle théâtralité et quelle puissance. Le groupe a un son dévastateur, une sorte de black / death qui a quelques touches de grindcore. Le groupe se présente sur son site officiel comme du Melodic Death Metal, Blackened Death Metal, Brutal Death Metal, Powerful Sound and Raw Charisma. C'est d'une violence ! Et ce jeu de scène d'Auré qui est toujours avec une expression différente sur le visage, accompagnée d'une gestuelle très expressive. C'est un vrai dialogue qui s’est instauré avec le public , au point qu'elle est allée chanter quelques instants au milieu des premiers rangs.  

Avec Akiavel pas de barrière, un plaisir d'échanger et de tout donner avec férocité.  

Les festivaliers sont là pour eux, avec sur les premiers rangs des personnes avec des t-shirts du groupe. Autant vous dire qu'il y avait de l’ambiance.  

La batterie est colossale, sans cesse à vous pulvériser les tympans, à vous pilonner. La guitare de Chris a un son tranchant, bien agressif. Et la basse de Jay vous claque à la figure. 

Un show qui se déroule dans la brume, ce qui donne une teinte fantasmagorique. C'est massif et ça vous agrippe les tripes. Le public ne cesse de chauffer, ce qui a provoqué un beau circle pit ! Et un wall of death bien énervé sur le dernier titre pour « une ultime bagarre » comme le demandait Auré qui s'est fait porter par le public sur ce titre bien énervé ! 

Avec un message de soutien aux poulettes sisters qui avaient un stand sur le festival et que le groupe accompagne depuis longtemps. https://poulettes-sisters.fr/

 

 

Pour télécharger l'interview : https://lautremonde-radio.fr/itw.Akiavel-12.09.2025.mp3

 

 

 

No One is innocent : 

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Fred et Marceau à la guitare, Mathys à la batterie, Kemar au chant et Tranbert à la bass.

Une bombe d'énergie a explosé quand le groupe est arrivé sur scène ! C'est toujours aussi fou un concert de No One Is Innocent 

     

Avec une set list qui va chercher dans toute la discographie du groupe. Avec l'incontournable La Peau qui a été jouée en milieu de set.  

Le public est à fond dès le début du concert, ça bouge sur scène et devant aussi. C'est ça l'esprit rock-punk-metal. Énervé tout en faisant attention aux autres, notamment quand des jeunes se lancent dans du crowd surfing.  

Le message de No One Is Innocent a toujours été clair et leur authenticité les honore.  

Avec de beaux passages qui ne se vivent qu'en live comme ce solo de guitare / batterie très énergique et inspiré qui est loin d'avoir une ambiance d'intermède, car la puissance est toujours là. Aucun temps mort. 

Et un mot pour Ozzy Osbourne « qui nous manque » comme le dit Kemar . 

 

Puis ça enchaîne avec une reprise de Rage Against The Machine avec le titre Bullet in Your Head où le public est si compact qu'il n’est même pas possible de lancer un wall of death ! 

Et ce Nomenklatura de folie ! Un véritable ouragan. Avec ces regroupements des musiciens autour de la batterie pendant que le public frappe dans ses mains de plus en plus fort pour leur donner encore davantage d'énergie. Il faut voir Kemar qui en redemande, un vrai échange d'onde positive se fait en permanence durant ce concert. 

Silencio a permis de respirer un peu, car ce titre est plus atmosphérique, même s'il possède une belle pression. Et un rappel de mémoire pour les gars de Charlie Hebdo avec le titre Charlie que la salle reprend en chœur. 

Puis finalement, Kemar a pu avoir son wall of death sur le titre « What the fuck ». 

Et sur le titre contre la dictature chilienne qu'est Chile, Kemar est allé au milieu du public ! Quelle connexion le groupe entretient avec le public ! 

Et sans oublier le peuple ukrainien, avec cette phrase de Pablo Neruda :  « Nous gagnerons même si tu ne le crois pas ».  

Le groupe est là pour se faire plaisir, plus rien à prouver, tout à gagner et à profiter de cet échange avec le public du Sid Fest qui soutient No One Is Innocent comme il se doit.  

Une sorte de rencontre entre deux amis de longue date qui se retrouvent pour un bon moment de connivence. 

 

 

Pour télécharger l'interview : https://lautremonde-radio.fr/itw.No.One.Is.Innocent-12.09.2025.mp3

 

 

Elmer Food Beat 

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Dire que leurs premiers albums datent des années 90. Moment nostalgique pour l'assistance. Qu'est-ce que le groupe peut faire comme pitreries, comme une distribution de poils du torse de la part de Manou (chant) pendant la chanson « couroucourou roploplo ». 

Ce concert, c'est un moment de détente décérébré totalement assumé. Le groupe annonce une nouvelle tournée en 2026, pour fêter leur 40 ans.  

   

Esprit punk, rock, décomplexé d'un bout à l'autre. Comme le résume bien leur titre No Future qui figure sur leur album Le Bruit des Potes (2023), car quand le groupe a commencé en 1986, ils n’avaient aucune idée de ce qui se passerait après et encore moins qu'ils seraient toujours là 40 ans plus tard. Ça joue bien rock en live, avec décontraction et joie. 

Avec une petite explication de texte sur la chanson le plastique, c'est fantastique qui a été transformé pour dénoncer la pollution des océans avec une sorte de medley proposé en live entre la version d'origine qui figure sur leur premier album sortie en 1990 et la version de 2019 « Le plastique c'est dramatique ». Ce qui permet au chanteur d'affirmer pour le plus grand plaisir du public : « Arrêtez de boire de l'eau dans des bouteilles en plastique et buvez de la bière dans des bouteilles en verre ! »  

Et la chanson « J'reve la nuit » avec la belle au bois dormant sur le consentement. 

Avec un super slow dansé entre Céline et Manou sur « Est-ce que tu la sens ». Ambiance romantique façon Elmer Food Beat... Et il y a du métier quand on voit comment ça bouge sur scène : les mouvements sont précis, sans parler de jongler avec le pied de micro ! 

Un show 100% fun, sexe, provoc et rock n’ roll. 

Avec comme mot de la fin du chanteur qui a fini en slip Superman : « Et vive la liberté »  

 Et cette reprise a capella sur « le pays d'Aglaé et Sidonie » (série d'animation française diffusée à partir de 1969) pour se dire au revoir sous un tonnerre d'aplatissement ! 

 

 

Black Bomb A 

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Les choses sérieuses reprennent. Avec un pit bien agité. 

Black Bomb A n’a jamais fait dans la demi-mesure alors pourquoi commencer ce soir ? Ça joue fort et ultra-solide. Le groupe a son expérience qui parle pour lui et sur scène, c'est toujours aussi furieux. Aucun temps mort. Et cette dualité de voix qui décape. J'apprécie toujours cette voix caverneuse d'Arno et Poun qui varie sa voix plus aiguë ou saturée. Avec une batterie ultra-énervée qui sonne d'une force ce soir. Whaouh quelle puissance. La basse n’est pas en reste avec ce son métallique qui résonne et la guitare ! Dire qu'il n’y a qu'un seul gratteux, mais quelle présence.  

   

C'est un rouleau compresseur que vous prenez à pleine vitesse dans les entrailles. Une set list qui est une déferlante de son, qui vous saute à la gorge à chaque instant.  

Quelle énergie inépuisable !  

 


Pour télécharger l'interview : https://lautremonde-radio.fr/itw.Black.Bomb.A-12.09.2025.mp3

 

Une édition frappante pour le Sid Fest 2025, tout le monde a pu s'amuser et se défouler.

Pour information, l'édition 2026 sera la 10ème du festival qui affiche complet à chaque édition. Vous voilà prévenu si vous voulez venir l'année prochaine.



Bravo aux organisateurs qui ont su fédérer toutes les générations sur leur festival.